| ets. en 2016 | salariés en 2016 | indép. en 2016 | startups en 2018 | |
| wallonie | 1099 | 11488 | 522 | 500 |
| bruxelles | 955 | 23226 | 231 | 1000 |
| frandres | 2985 | 44460 | 1256 | 1000 |
| belgique | 4949 | 79174 | 2033 | 2500 |
| % wallonie | 0.2221 | 0.1451 | 0.2568 | 0.2 |
Depuis plus de 10 ans, on parle de carence structurelle dans les métiers des TIC avec une certaine confusion entre TIC et numérique, entre développeur talentueux et web développeur éphémère, entre informaticiens travaillant dans le secteur TIC (3,2% de la demande d’emploi en wallonie) et informaticiens ou assimilés travaillant dans d’autres secteurs comme les services et l’éducation (non mesuré).
La demande de compétences numériques concernant tous les profils et toutes les entreprises, il n’est plus question de s’opposer sur les chiffres mais plutôt d’établir des constats partagés. La wallonie représente 15% de l’emploi dans le secteur des TIC, 20% des startups mais seulement 12% si l’on enlève les entreprises en périphérie bruxelloise. Cette région concentre, dans de grandes entreprises, plus d’emplois TIC et numérique que la wallonie. C’est encore plus vrai pour les startups qui trouvent dans une métropole comme Bruxelles (Paris, Londres ou Berlin) les opportunités d’un hub (voir cartographie de la scène technologique belge du journal l’écho ou la cartographie de startups.be).
